Sujet: DWAYN ✩ I want to satisfy the undisclosed desires in your heart Mar 19 Avr - 5:02
Dwayn Jèysus Appelgate
Désolée, les pare-chocs ne provoquent pas chez moi une diarrhée verbale.
Bonjour, Bonsoir, on ne sait jamais quoi dire je l'avoue ! Je me présente, DWAYN JÈYSUS APPELGATE, il n'y a pas plus original que mes parents je dois l'avouer ! Je suis née le 25 MARS 1989 dans un magnifique hôpital de SAN DIEGO, CALIFORNIE. Si on regarderait sur mon arbre généalogique, histoire de savoir quelles sont mes origines, vous apprendrez qu'elles sont AMÉRICAINE & ITALIENNE et puis il faut l'avouer que ça se voit quand même un peu non ? Bon changeons de sujet, j'ai déjà hâte d'en mettre fin à ce petit sondage chiant à répondre. Je ne suis pas encore sur le bien-être social, je ne dépends pas de votre argent, je gagne la mienne en étant ÉTUDIANT EN JOURNALISME. Côté coeur, parlez-moi en pas. Je suis CÉLIBATAIRE MAIS TRÈS DEMANDÉ et c'est déjà assez spéciale que j'aime mieux pas entrer dans le vif du sujet ! Quand on m'a demandé quel groupe je souhaitais entrée lors de mon initiation j'ai répondu sans hésitation JOCK/CHEERLEADER. Vous pouvez certainement le remarqué vous-même, mais on me dit souvent que je ressemble à DAVE FRANCO, j'imagine que je dois prendre cela comme un compliment !
You may say that I'm a freakshow
COMÉDIE DRAME ACTION ROMANTIQUE
CLOWN DE LA CLASSE GEEK INVISIBLE REINE/ROI
GARS/FILLE D'À CÔTÉ NOUVEAU/NOUVELLE REBEL/REBELLE SPORTIFS/CHEERLEADERS
You wannabe a loser like me
Bonjour, c'est bien ici les alcooliques anonymes ? Moi c'est Juice ou mandine c'est comme vous préférer. Je suis une - va vérifier- demoiselle de 18 ans. Même si je suis majeure, je ne vois aucune différence avec les 17 ans. Je vis en Belgique et je suis en dernière année du secondaire. Je suis un peu - voir beaucoup- folle mais faut me pardonner je suis gentille au fond. J'ai une sale tendance à abuser des smileys et à sortir des phrases qui ne veulent rien dire. Enfin c'est moi.
Dernière édition par Dwayn J. Applegate le Mar 19 Avr - 8:10, édité 10 fois
Sujet: Re: DWAYN ✩ I want to satisfy the undisclosed desires in your heart Mar 19 Avr - 5:04
Hit me with the worst you got
Quand je n'étais qu'un petit garçon, ma mère avait toujours tendance à me répéter que ce qui fait grandir l'homme c'est l'énergie qu'il met à faire rire les autres. Il m'a fallu plusieurs années avant de comprendre cette phrase mais à peine l'avait-elle prononcée que je m'étais donné comme but de faire sourire toute personne triste qui rencontrerait mon chemin. Je pense que cette façon d'agir a, en partie, influencé la plus importante rencontre de toute ma vie mais pour le moment, commençons par le début de mon histoire. Le grand garçon de 22 ans que je suis aujourd'hui fut au départ, comme toute autre personne sur terre, un petit bébé tout potelé qui passait son temps à pleurer pour obtenir ce qu'il voulait parce qu'un bébé ça ne parle pas. Personnellement, je trouverais cela plus pratique mais je m'éloigne du sujet. Bien qu'à la naissance, je ressemblais à chaque autre enfant et bien, ma vie était loin d'être celle de chaque autre enfant. Mes parents faisaient et font toujours partie des 100 plus grandes fortunes de tous les Etats-Unis mais n'allez pas croire que tout ce qu'ils aimaient était l'argent. Bien au contraire, mes parents m'ont toujours choyés et non jamais été véritablement absent de ma vie. J'avais une nounou quand ils partaient travailler mais beaucoup de couples le font. Néanmoins, ils m'ont appris une valeur essentielle : l'argent ne fait pas forcement le bonheur, surtout quand on le garde pour soi. Oui, j'étais un petit gosse gâté qui obtenait ce qu'il voulait mais dans une certaine mesure. Je ne faisais pas partie des enfants pourris gâtées qui pensent qu'une voiture coûte aussi peu qu'un bon hamburger. J'ai d'ailleurs toujours été fier de savoirs qu'ils donnaient une partie de leur pécule dans diverses associations. En tant que petit garçon, je possédais une passion assez étrange qui était la lecture. Je pouvais passer des heures à lire et cela dans n'importe quel lieu. Tout ce dont j'avais besoin, c'était d'un bon bouquin et le tour est joué. N'allez pas croire que je n'aimais pas jouer avec les autres, bien au contraire mais que seul chez moi, je préférais me plonger dans un Jules Verne plutôt que de lancer un ballon contre un mur. A l'école, j'étais assez apprécie sans doute parce que je n'étais pas du genre à embêter les filles et que je partageais avec les autres. Dans les faits, je n'ai rien vécu de vraiment exceptionnel dans mon enfance mais si l'on considère les rencontres que j'ai pu y faire, la situation se révélait être totalement différente.
Lorsque je vis pour la première fois Judas, je me trouvais dans ma librairie préférée, celle où je pouvais passer des heures pour choisir le roman qui allait rentrer à la maison en ma compagnie. C'est d'ailleurs ce qui me poussait à chaque fois m'asseoir dans un petit coin lorsque j'arrivais dans ce lieu. Je restais tapi dans l'ombre pour lire les premières pages des livres qui me tentaient le plus et donc, par la même occasion, de ne pas me tromper dans mon choix. Ce jour aurait pu être comme tant d'autres si une petite tête blonde ne s'était point approchée de moi. Elle me regardait bizarrement comme si je lui avais piqué quelque chose, j'appris bien plus tard qu'elle avait l'habitude de s'installer là où je me trouvais. La première chose que j'avais remarqué chez elle fut son incroyable regard. J'adorais ses yeux si pétillants et ma seule réaction à un tel regard fut de lui sourira avant de lui parler de livres. « Est-ce que tu as déjà lu Jules Verne ? » Cette question était anodine mais elle avait scellée quelque chose entre nous. Cet après-midi là, j'avais passé beaucoup plus de temps à parler avec la blondinette que de choisir un livre. J'appris d'ailleurs que sa mère tenait la boutique et c'est sans doute ce qui me poussa à devenir un client plus que régulier. J'essayais de revenir le plus souvent possible rien que pour observer ma petite blondinette qui était bien vite devenue la personne la plus importante de ma vie. Vous voyez parfois on fait des rencontres qui nous changent la vie et je suis persuadé que c'est ce qui s'est passé ce jour-là. Judas était ma découverte à moi. Plus que ma meilleure amie, elle était la personne que je ne pourrais jamais arrêter de protéger ou de voir parce que des filles comme elle, il n'y en a pas deux.
Dire au revoir, je pense que quel que soit l'âge que nous avons, c'est la pire chose au monde. Je veux dire par là que personne n'a envie de sortir de sa vie une personne qu'il apprécie. Cependant, on peut distinguer différents degrés d'abandon. Si l'on perd de vue une connaissance, cela ne fait pas le même effet qu'une personne pour qui on donnerait sa vie. Cette différence, je l'ai compris alors que j'avais à peine 14 ans. Pour l'adolescent que j'étais, chaque année qui passait, c'était un peu plus de liberté. Je partageais la majorité de ma vie entre mes trois passions : la littérature. Mes parents avaient d'ailleurs investi pour transformer une des pièces de la maison en bibliothèque. Le football, tout avait commencé quand, par hasard, mon père m'avait amené voir un match et tout ce qui s'y déroulait m'avait immédiatement séduit. Bien vite, j'avais passé des essais et j'étais entré dans la petite équipe de la région. De manière générale, j'aimais le sport et surtout lorsque celui-ci se jouait en équipe. Cela me permettait de m'amuser avec mes amis tout en dépensant un peu de mon énergie. Il était étrange de remarquer à quel point mon comportement changeait que je sois ou pas chez moi. Dans ma demeure, je passais mon temps à lire alors qu'en dehors, je préférais rester en contact avec les autres. Ma dernière passion était loin d'être anodine puisqu'elle n'était nullement une activité mais plutôt une incroyable personne qui n'était nulle autre que ma Evy. N'étant point dans la même école qu'elle, je passais une partie incroyable de mon temps libre chez elle. Souvent, je prenais mon vélo et parcourais le nombre de kilomètres qui séparaient nos deux maisons. Je ne voulais qu'une seule chose qu'elle soit heureuse et il n'y avait pas de meilleurs moments pour la voir sourire que le jour de son anniversaire du moins, c'est ce que je pensais. Malheureusement, l'imprévu arrive toujours et je me souviendrai à jamais de l'évènement qui brisa, de manière invisible, notre si belle amitié. Au plein milieu de son dîné d'anniversaire son père annonça qu'ils partaient tous en Australie, si loin de moi... Je n'eus même pas le temps de me faire à la nouvelle qu'elle monta en haut et sans aucune hésitation, je la suivis. Je ne pensais même pas à ce que départ représentait pour moi, tout ce qui comptait c'est qu'elle ne soit point triste. Ce qui me poussa à lui promettre que malgré la distance nous serons toujours en contact et puis, à cette époque j'y croyais dur comme fer. J'aimais notre amitié, j'adorais ma petite princesse et tout ce qui comptait, c'est de la serrer dans mes bras une toute dernière fois.
Deux jours, ce fut le temps que je pris pour comprendre tout ce que changeait ce départ et la réponse n'était nulle autre qu'un immense vide. Je me sentais comme si l'on m'avait enlevé une partie de moi-même. J'étais là, je vivais ma vie comme avant mais il manquait une personne sans laquelle je n'arrivais pas à avancer. Le temps fut sans doute mon meilleur ami, j'apprenais à continuer ma vie en passant plus de temps en compagnie de camarades scolaires, me faisant de nouveaux amis et surtout attendant désespérément un signe de ma chère amie. Je voulais à tout prix tenir ma promesse et lui prouver que la distance n'était rien, pas pour nous, pas pour ce lien qui s'était créé d'une façon si magique. J'attendis les vacances d'été avec encore plus d'intensité que les années précédentes. Mes parents me payèrent un billet d'avion pour aller le rejoindre. A peine l'avais-je aperçu dans l'aéroport que je m'étais jetée sur elle, la prenant dans mes bras pour ne la lâcher qu'au bout d'une demi-heure et encore, j'avais passé mon bras autour de son épaule. Certaines personnes ont sans doute dû penser que nous étions un couple venant de se retrouver mais ce n'était pas le cas, l'amitié, c'est tout ce qui comptait. Les quelques jours que je passais en sa compagnie furent les beaux de toute ma vie. Chaque jour n'était qu'amusement, elle me montrait sa nouvelle vie, tout ce qui changeait pour elle ici et surtout nous passions notre temps ensemble. Je dormais même dans sa chambre. Techniquement dans un autre lit mais nous parlions tellement la nuit que nous finissions par nous endormir dans les bras l'un de l'autre comme de bons amis. Tout ce que je voyais ne me donnait nullement de repartir. Ma Judas m'avait tant manqué et tout ce que je voulais, c'était passé encore un peu de mon temps en sa compagnie mais cela était impossible. Les adieux furent le pire des déchirements, c'est comme si l'on s'abandonnait une deuxième fois. J'avais retrouvé mon amie pour la reperdre peu de temps après. Le vol de retour brisa mon tendre coeur même si je n'étais pas encore au bout de mes peines.
Je pensais que mes parents formaient le couple le plus solide qui n'ait jamais existé mais ce n'était pas vraiment le cas. Je le découvris le soir même de mon retour. « Maman n'est pas encore rentrée ? » C'était une simple question. Je m'inquiétais de ne point l'avoir vue rentrée, cela ne ressemblait pas vraiment à son habitude. La tête de mon père changea tout à coup comme si je venais de prononcer la pire de toutes les conneries. « Je pensais t'en parler demain matin... » Cela ne disait vraiment rien qui vaille mais je ne pouvais plus rien changer à la situation. « Ta mère et moi allons divorcer... » Je venais de mourir, non, ce n'était pas possible, mes parents ne pouvaient pas tout changer eux aussi. Ma tête me faisait mal et la suite de la conversation n'arrangea rien du tout. Mon père m'apprit qu'il avait une maîtresse depuis plus de quatre ans et que cette dernière était tombée enceinte. Ma mère l'avait appris et était partie ne supportant plus de vivre sous le même toit qu'un menteur. Je n'étais pas au bout de mes surprises, fin de semaine, sa pouffiasse viendrait vivre chez moi et ils formeraient un joli petit couple. Trop de changements pour que je puisse les assimiler. J'étais sorti de chez moi, cassant tout ce qui se trouvait sur mon passage. Comment n'avais-je rien pu remarquer ? Est-ce que j'étais à ce point concentrer sur mon amitié avec Judas que j'en avais oublié le reste ? Aucune idée mais tout ce dont j'avais envie, c'est de changer tout ce qui germait dans ma tête.
Ma seule échappatoire fut de faire la fête, j'avais bu comme jamais, me moquant de l'état dans lequel on allait me retrouver, la seule chose qui comptait c'est de tout oublier. Je ne voulais plus penser aux mensonges de mes parents et encore moins au manque provoqué par l'absence de ma meilleure amie. Si elle avait été là, j'aurais pu lui parler de tous les bouleversements de ma vie mais Evy vivait loin, bien trop loin pour calmer mes peines. Me foutre la tête en l'air restait donc ma dernière solution et cela marchait assez bien. Je me contentais de boire dans mon coin, sans prise de tête quand elle arriva. « Le gentil Dwayn en train de se saouler la gueule, est-ce que je suis en train de rêver. » Je n'avais pas besoin de me retourner pour savoir qu'il s'agissait de Pacey, une fille me poursuivant d'année en année et je n'aimais pas vraiment. Petite, elle s'amusait à mettre de la terre dans mon cartable, puis ce fut les mots dans le dos et encore tout un tas de conneries dans ce genre. Elle était un peu la demoiselle que je ne pourrais jamais aimer et encore moins aujourd'hui. « Ecoute, si tu es venue jeter ton venin, tu peux repartir tout de suite, je ne suis pas d'humeur. » Cela la fit rire et au lieu de partir, elle vint prendre position à côté de moi sur le canapé, totalement amusée par la situation. « Raconte à tata Pacey, ce qui ne va pas mon chéri. » Oui, elle se jouait de moi mais après autant d'alcool, je lui trouvais un charme nouveau. Tout s'enchaîna rapidement, des paroles, on passa aux gestes lorsque je l'embrassai et tout cela se termina dans l'une des chambres de la maisonnée. Il n'y avait pas d'amour, simplement une entente mutuelle. Tout cela ne me ressemblait pas mais je n'étais pas vraiment moi-même, j'étais totalement perdu et cette fin de soirée eut au moins l'avantage de remettre toutes mes pensées en place.
Les années passèrent et apportèrent leur lot de changements. De jeune adolescent, je passais à futur homme mais ce n'était pas le plus gros de tous les changements, non, il y avait cette petite soeur qui pleurait chaque nuit. A 16 ans, j'étais devenu grand frère et autant, je ne supportais pas la mère de cette enfant, autant j'adorais ma petite Calliope. Elle était si petite, si douce et gentille, je pouvais passer des heures à la contempler et me plonger dans ses yeux. Au fond, je pense que ce qui me plaisait tellement chez ce petit ange c'est qu'il me rappelait Judas. Elles étaient toutes les deux blondes et j'avais la même envie de les protéger. Je n'avais plus la moindre nouvelle de ma meilleure amie, sans le vouloir, nous avions rompu notre promesse mais ce n'était pour autant que je ne pensais pas à elle, bien au contraire. Chaque jour, lui écrivais une petite lettre et elles étaient toutes enfuîtes sous mon lit. La plupart des mecs cachent des magasines pornos, moi c'était les lettres que je ne lui envoyais pas. En grandissant, j'avais aussi remarqué que les filles possédaient un petit intérêt pour ma petite personne et cela était loin de me déranger. Je me faisais facilement des petites amies avec qui je restais quelques mois, j'avais beaucoup de mal à m'attacher comme si elle était capable de s'en aller rapidement très loin de moi. Le dernier grand changement de ma vie se résumait en un seul nom PACEY. Ma pire ennemie commença à devenir ce qui pour nous, s'approcherait sans doute le plus de l'amitié. Nous n'étions pas amis puisqu'on continuait à s'envoyer des vacheries à la figure assez souvent mais au moins, j'avais quelqu'un à qui parler quand ça n'allait pas. Autant, elle peut-être la pire des chieuses, elle savait garder mes secrets et avoir une fille sous la main n'a pas que des désavantages, par exemple si une fille se montrait trop collante lors d'une soirée vous pouvez prétexter que vous êtes déjà en couple.
Qui je suis maintenant ? Un étudiant parmi tant d'autres. Certains me considèrent comme un fils à papa bourré de fric, j'ai peut-être de l'argent mais je ne l'étale pas à la vue de tous. D'autres sont persuadés que je suis un sportif sans une once d'intelligence ce qui nullement la vérité, j'aime autant me déchaîner sur le terrain que dans mes études de journalismes. La dernière chose que l'on pense de moi c'est que je suis un bourreau des coeurs ce qui n'est pas vraiment vrai. J'essaye de traiter les demoiselles de la façon la plus correctes, comme tout jeune adulte de mon âge, j'ai des aventures mais ce n'est pas ce qui domine ma vie sentimentale. Pour le moment je suis célibataire et cette situation me convient assez, je cherche celle qui me conviendra et certaines demoiselles ne seraient point contre avoir ce rôle. La seule constante chez moi c'est qu'il ne se passe point un jour sans que je ne rêve du magnifique regard qui hante mes nuits et me rappelle l'absence de ma belle Judas.
Dernière édition par Dwayn J. Applegate le Mar 19 Avr - 18:49, édité 9 fois
Sujet: Re: DWAYN ✩ I want to satisfy the undisclosed desires in your heart Mar 19 Avr - 7:04
DWAYN DWAYN DWAYN DWAYN DWAAAAAYN Bienvenue, je te souhaite bon courage pour ta fiche, ma boîte à mps t'es entièrement ouverte, mais tout ça tu le sais déjà. Donc je te remercie encore