Dans ce monde de fou on cherche souvent quelqu’un qui nous fera sentir aimée et appréciée peu importe ce que nous avons fait. C’est souvent difficile de trouver cette perle rare. J’ai de la chance moi, je l’ai trouvée, et elle est du même sang que moi. Laureen, malgré le fait que je la surnomme toujours Beth, peu de personne ne connaissent nos premiers prénoms et ne savent la véritable raison de ces prénoms. Beth et moi avons hérités de nos prénoms grâce à des chansons que notre mère adorait écouté. Mère qui malheureusement était décédée depuis très longtemps maintenant. Elle et moi on est pareil. Une année ne nous sépare, et ce n’est pas cela qui va nous éloigner. Nous avons un père de fou, qui malgré le fait que nous l’adorons, nous a souvent rendu folles à un moment ou un autre de notre jeunesse. Beth avait toujours le don de couvrir pour moi lorsque je sortais pour m’amuser sans que mon père ne le sache, et moi, je m’occupais d’elle et la protégeait comme personne d’autre. Aujourd’hui, nous avions décidés de passer un petit moment ensemble, avec l’université et tout ce qui se passait dans nos vies respectives, les véritables moments de sœur se faisait beaucoup plus rare malheureusement ! Je venais tout juste de sortir de mon cours de communication lorsque je lui ai envoyé un texto lui demandant de me rejoindre au stand de café sur le campus. J’avais besoin de ma dose de caféine que je n’avais pas eue depuis plus de trois heures ! C’est ce qui arrive lorsqu’on donne un cours à 7 heures du matin, forçant une Gallagher à se réveiller à 6 heures tout simplement pour qu’elle puisse se préparer. C’était la routine habituelle, et même si je ne devais pas boire autant de café que cela pour le cheerleading, je m’en foutais ! Si je ne voulais pas ressembler à un zombie je n’avais pas d’autre choix !

Une fois sortie du bâtiment de l’université direction stand de café, qui était à peine à cinq minutes de marche, j’aperçu ma petite sœur m’attendre avec un grand café pour elle et pour moi. Ce qu’elle me connaissait cette blondinette ! Si on veut me rendre heureuse, vous n’avez qu’à m’acheter de la caféine, ça marche à tout coup ! « Tu sais que je t’adores toi ! » lui avais-je dit en prenant mon café de ses mains pour en prendre une gorgée. « Ah oui et je t’aime bien aussi Beth ! » Un petit sourire se dessinait sur mes lèvres, j’aimais bien la taquiner une fois de temps en temps ! M’installant confortablement dans l’herbe verte, j’adorais ces petits moments ! Je me foutais bien d’avoir mon uniforme sale en me levant, je devais bien en avoir une garde-robe pleine à la maison ! « Alors, raconte-moi tout ! Nolhan ? Il se passe quoi avec ce dealer ? » Pour d’autre personne, j’aurais sonner un peu comme une méchante fille qui veut tout simplement vous rappeler que la personne que vous fréquentez n’est pas un bon garçon et qu’il fait quelque chose de mal. Cependant, Beth savait exactement ce qu’elle faisait. Je n’avais pas à craindre pour elle. Je craignais plus pour ce Nolhan, se faire laisser par une fille ce n’est déjà pas amusant, mais ce faire laisser par Beth ? Pauvre homme, il ne connait pas encore la souffrance tant qu’il ne se fait pas briser le cœur par cette jolie blondinette aux airs d’ange ! Quand on y pense, même avec Nolhan elle avait toujours eu plus de facilité que moi côté amour. Si on pense à une trahison, une rupture beaucoup trop dramatique et un mec que je paye pour qu’il soit mon plus un à un mariage, c’est déjà mieux un dealer qui vous aime mais qui ne comprends pas que vous n’aimez pas son job. Je prendrais son histoire pour n’importe quoi ! En parlant du loup, je venais tout juste de recevoir un texto de Ryder. Il me demandait si je préférais qu’il porte des boxer ou qu’il la joue commando la journée du mariage la semaine prochaine. Partant ainsi à rire, ma sœur me regardait, me demandant ce qui se passait dans ma tête, pourtant je venais tout juste d’avoir mon café ! Je lui montrais le texto et les deux nous sommes éclatés de rire. « Qu’est-ce que j’ai fait dans ma vie pour me rendre à ce point ! » Je ne m’apitoyais absolument pas sur mon sort. Les choix que je faisais, je les acceptais plus que tout ! Ma sœur, elle, elle était sûre et certaine que je finirais avec Ryder. Selon elle, il n’y a pas meilleur histoire d’amour qu’une fille qui paye un mec et qui finit par tomber amoureuse de lui ! Elle n’avait peut-être pas tort, ça ferait un film excellent que j’irais probablement voir, mais un mec comme Ryder, c’était trop beau pour être vrai !

Aujourd'hui se révèle une journée chargée de cours. Pas pratique de se lever, quand on en à la flemme et que l'université est loin de chez nous. Bon l'important c'est que de me motiver, alors je mis du J-Lo - On the floor pour me réveiller. Cette chanson je dois l'avouer c'était mieux que la Lambada originale. Enfin bref, je partis de chez moi et pris mes clés de voitures et celle de la maison. Avec ma sœur on avait pas eu le temps de se voir le matin puisqu'on s'était pas levées de la même heure moi j'étais plus en retard qu'elle mais j'essayerais d'amadouer mon prof au cas ou il me blâmerait. Arriver en cours je n'avais toujours pas vue ma sœurette, donc je continua mon but qui était d'aller en classe d'anglais avec le sourire même si j'avais un sourire niais au lèvre on voyait très bien que la princesse est dans les vapes. Ce cours se passe comme dans l'un des clips de Britney Spears. Le premier je pense, je n'arrivais pas à comprendre exactement le professeur du coup ma vision était basée sur le tableau. Parfois, je faisais semblant d'écrire sur ma feuille de classeur mais le seul truc que je pouvais faire c'était dessiner des cœurs. En quel honneur ? Aucune, j'ai tendance à faire ça quand je ne veux pas travailler. N'empêche je n'écoute jamais en cours d'anglais, c'est pour ça que j'ai une mauvaise moyenne c'est le seul cours qui me barbe à vrai dire. Et j'ai toujours cette motivation de travailler, mais le matin toutes les heures que de l'anglais à force ça devient barbant. M'affalant sur la table, mes paupières commençaient à se fermer tout doucement jusqu'à que .. BOUM ! Je dormes, hier soir j'avais dormis très tard vers les quatre heures et pourquoi ? Je finissais le gâteau géant que j'avais achetée, je me faisais une joie de le manger devant Valentine's Day. Je dormais mais je me demandais pourquoi je ne voyais rien ? Mes pensées étaient toutes noires surement qu'elle aussi ne voulaient pas se mettre à jour. DRRRRING ! Damn .. Ça sonnait si fort, je me réveille en écarquillant les yeux. Mes cheveux était en bataille c'était comme ci je m'étais battue avec mon sèche-cheveux et qu'il aurait gagné.

Je reçu un texto de ma chère sœur que je cherchais depuis ce matin, elle me demandait de la rejoindre au stand de café. Comme j'y étais près de ce stand, je me dirigea vers. Deux trois minutes et j'y suis arrivé. J'achetais deux Frappucino, oui des Frappucino, Starbucks était en partenariat où je ne sais quoi avec l'université donc on pouvait en profiter. Avec un sourire plus naturel j'attendais la petite bouille d'ange qui me servait de sœur, la voyant se dirigea vers moi, de loin je lui montra les Frappucino. Son visage s'était comme illuminé, un grand sourire au lèvres elle vint me prendre le Frappucino des mains. Je savais qu'elle attendait ça, de toute façon je sais toujours quand ma sœur prends sa dose de caféine qui est essentiel pour son bien être. « Tu sais que je t’adores toi ! » J'hochais la tête avec un air de prétentieuse, je le savais déjà qu'elle m'adorait je suis celle qui comble sa vie. « Ah oui et je t’aime bien aussi Beth ! » J'ouvrais la bouche étonnée mais amusée parce que je savais qu'elle me taquinait. « Tu m'aimes tout court Jolene ! » avant de lui dire ça je lui donna une tape sur l'épaule. Je sirotais mon Frappucino, tout en regardant les nouveaux messages de mon portable. Que du Nolhan, j'en avais un qui me faisait " Bonne matinée, mon cœur. " Je suis le cœur d'un dealer, je pouffa légèrement de rire en me faisant cette remarque. Novalee constatant qu'il y avait des messages de Nolhan sur mon portable elle me posa cette question : « Alors, raconte-moi tout ! Nolhan ? Il se passe quoi avec ce dealer ? » Je me mordilla la lèvre inférieur tout en passant mes mains devant mon visage, puis je repris mon sérieux du genre ! « Bah comme tu l'as dis c'est un dealer, du coup je ne pense pas rester longtemps avec lui. Avec cette histoire, pour lui c'est un ultimatum de choisir entre moi et sa drogue. » Penser à cette histoire me faisait une migraine, pourtant en y repensant cette histoire c'est de la daube. Il peut facilement en mettre fin mais il veut que je lui cris après comme un gamin. Après tout les couples qui se disputent durent ? Ah quoique nous c'est pas un couple qu'on a c'est a l'impossible que je dois faire face. Novalee profita pour sortir son portable, elle avait un message de Ryder son futur mari si je puis le dire. Je la regardais sourire devant son portable, elle avait eu la même réaction que moi quand j'eus le message de Nolhan, on aurait put être jumelles avec Novalee mais le destin à décidé que je sois sa petite soeur et cela me convient d'autant plus. Enfin bref, moi j'en suis sûre que Ryder et ma sœur finiraient ensemble, il faut juste laisser passer le temps et laisser faire le travail de notre chère Cupidon. « Qu’est-ce que j’ai fait dans ma vie pour me rendre à ce point ! » Je riai légèrement et d'une voix enfantine je lui balança : « Rah vous êtes vraiment faits pour être ensemble, quel beau destin moi j'dis. »

Vivre dans une confrérie c’est amusant, mais c’est quand même chiant lorsque vous tenez à voir votre famille quand même ! Je passais donc une nuit sur deux chez les Kappa et l’autre nuit à la maison familiale. Et laissez-moi vous dire que tout les mercredis soir était chez mon père, c’était la soirée cinéma. Il choisissait le film qu’il souhaitait écouté, ma sœur et moi mangions nos fameuses sucreries qu’il avait enfin décidé de nous acheter et c’était une bonne soirée. La seule soirée que l’université nous permettait réellement d’avoir et de plus que le travail de mon père ne nous permettait pas toujours de l’avoir avec nous ! Ce matin je m’étais réveillée chez les Kappa, pas trop le choix lorsque je dois me lever à six heures du matin, ne manger qu’une moitié de bagel qu’une Kappa m’avait fait toaster sachant très bien que je passerais par là et je n’avais même pas eu le temps de prendre mon café matinal. Qui explique maintenant le texto que j’avais envoyé à ma sœur. Même si je n’avais pas mentionné que je voulais boire un café, elle voyait très clair dans mes messages cette fabuleuse sœur que j’avais ! Ce que je ferais sans elle ? Je crois que je serais probablement en train de danser ma vie sur un poteau pour obtenir de l’argent pour mes études. Ce n’est qu’un mensonge bien sûr, mais petit mensonge que j’adore dire devant mon père tout simplement pour voir le visage qu’il me fait à chaque fois ! Il n’y a pas de mot pour décrire ce visage, c’est beaucoup plus qu’un visage hilarant !

« Beth Laureen Gallagher, vous êtes ma vie chère demoiselle, comment pourrais-je ne pas vous aimer ? » Déconner ? Ce n’était absolument pas notre genre. Nous n’étions pas deux petites filles à nous faire passer pour de grandes personnes au téléphone lorsque des inconnus appelaient. Nous n’étions pas celle qui allait sonner chez les voisins et qui partaient en courant. Beth et moi nous étions sages comme des images ! Nous n’avons jamais fait fuir plusieurs gardiennes prétextant que nous avions la rage ! Mais quand même, celles qui y ont cru, c’était un bien pour nous, j’aurais eu à craindre pour ma vie si un jour quelque chose de grave m’arrivait ! Sirotant mon frappucino comme si je n’en avais pas eu depuis des millénaires, ma sœur n’avait pu s’empêcher de me faire un de ses sourires avant de prendre son portable pour y vérifier ses messages. Non mais ce qu’elle pouvait être accro à la technologie celle-là, dit la gentille grande sœur qui ne touche jamais à l’électronique voyons ! Je l’entendais me parler de Nolhan, me disant que tout simplement parce qu’il était un dealer, elle ne le garderait pas auprès d’elle encore très longtemps. Ce qu’elle pouvait me faire rire elle quand elle le voulait. Elle était toujours ainsi en amour. Elle cherchait la petite bête noir qu’il y avait chez la personne qu’elle fréquentait et ainsi lui trouver une raison pour ne pas complètement s’investir dans le couple. Malgré le fait que je ne faisais pas confiance entièrement à ce Nolhan, je voyais très bien que ma petite sœur en était amoureuse et que cela lui faisait beaucoup plus de mal qu’elle ne voulait bien le laisser paraître qu’il ne veuille pas laisser tomber la drogue. « Avoue que tu veux tout simplement qu’il te dise que sa drogue c’est toi ! Pas vrai ? » Je voulais voir un sourire sur ses lèvres, la faire rire, lui faire réaliser que oui il y a bien pire dans la vie, mais qu’elle ne devrait pas lâcher prise. « Tu es une Gallagher, aucun mec ne peut nous dire non ! On a une certaine emprise sur eux j’aime croire ! » Les conseils d’une Gallagher très sage voyons dont ! Je savais de quoi je parlais, j’avais eu beaucoup d’histoires amoureuse et même si présentement ma vie se résumait à payer un mec pour qu’il sorte avec moi, mon ancien meilleur ami qui refaisait surface, je pouvais avoir qui je voulais ! Les mecs se mettaient presque en lignes pour que je les choisisse ! Mais j’étais et je suis toujours une romantique fini. Je veux des feux d’artifices lorsque j’embrasse quelqu’un. Je veux me sentir importante, et je sais que c’est ce que ma sœur désire aussi. On est peut-être pas jumelle, une année nous sépare, mais on se ressemble comme ce n’est pas possible ! Elle me faisait bien rire et me décourageait en même temps lorsqu’elle me disait que j’allais finir avec Ryder. Comment pouvait-elle dire une telle chose ? Il était complètement différent de moi ! Il était basé sur sa petite personne alors que moi je pensais toujours aux autres ! Il ne voulait que coucher avec moi alors que moi … enfin vous avez vu son corps ? Bien sûr que l’idée m’avait traversé la tête plus d’une fois et c’était ma sœur qui m’avait aidé à réaliser que je ne dirais pas non à ça ! « Non, Ryder et moi ne formerons jamais un couple ! Nous n’avons rien en commun. Mais je pourrais toujours coucher avec lui lorsque je le payerai pour être mon copain à ton mariage avec Nolhan! » On pourrait dire dans ta face à d’autre personne pour leur faire comprendre qu’on venait tout juste de les boucher, mais avec Beth, ça ne fonctionnait jamais. Elle trouvait toujours quelque chose à vous répliquer. Ce que j’aimais ma petite sœur !

« Beth Laureen Gallagher, vous êtes ma vie chère demoiselle, comment pourrais-je ne pas vous aimer ? » Je lui fis un sourire tout en ignorant la remarque puisqu'il n'y avait rien à répondre. En ce moment on était assise sur l'herbe, moi je m'étais habillé simplement vue le temps qu'il faisait j'avais pas trop l'occasion de mettre un short. Bien sûr il y a du soleil, mais il y avait du vent qui caressait nos visages et c'était très désagréable. Je plains l'uniforme de Novalee, étant donné qu'elle est cheerleader il serait dur de passer sa nuit à faire la lessive juste pour un uniforme. Je contemplais les messages d'un air intriguée si je puis le dire, je me demandais si je devrais lui répondre à ce dealer. Et puis après courte décision, je posa mon téléphone sur l'herbe et afficha un petit sourire en coin quand Novalee me répliqua : « Avoue que tu veux tout simplement qu’il te dise que sa drogue c’est toi ! Pas vrai ? » J'étais à peu près sûre qu'elle allait me sortir une phrase du genre, et bien ça me faisait sourire parce que l'air de rien elle avait raison. « Suis-je obligée de répondre ? » Je jouais la modeste certes, mais elle avait le chic de me faire rougir. Et juste le fais d'entendre son prénom, ou qu'on parle de lui me fais monter au paradis. L'amour est une chose que je souhaites à tout le monde. En y repensant, j'avais un tableau de conquêtes et malgré moi j'ai rempli ce tableau. Depuis que nous les Gallagher sommes entrer dans cette université tout les mecs se mettent à nos pieds. On as eu des coups d'un soir, des exs attentionnés même un peu trop collant, et puis moi quand j'étais un peu plus jeune j'adorais avoir un sex friend. Ayant une mauvaise réputation dans notre quartier et pleins de rumeurs qui atterrissait aux oreilles de mon père, je dus arrêter d'être une nymphomane. En faite j'étais pas vraiment nymphomane mais c'est plutôt que j'aimais les mecs, et le sexe du coup je me disais nymphomane. Mais après tout, tout ça était à cause de notre père qui nous emprisonnait à la maison, moi aussi j'avais rêver d'avoir une vie comme les autres et ne pas rester cloitrer devant des bouquins qui ne m'intéressait guère .. Mais j'avais compris aujourd'hui que tout ça était pour notre bien.

« Tu es une Gallagher, aucun mec ne peut nous dire non ! On a une certaine emprise sur eux j’aime croire ! » Elle l'avait tout dit, nous avions été dotées de la beauté de notre mère qui était à tomber par terre, c'était la Maryline Monroe de ça génération. Elle refusait toutes les demandes des hommes qui lui faisait la cour, et elle n'aimait pas les machos. Et puis quand elle a rencontré notre père - Je ne sais où, ah beh oui je connais pas toute l'histoire. - ça a été le coup de foudre. Notre père, était l'homme le plus heureux fière d'avoir une femme resplendissante, et il avait été plus heureux quand il nous eut, nous ses filles qui n'échangerait pour rien au monde d'après lui.« Oui, pas même ce dealer qui me serviras de petit-ami bientôt. » Dis-je en rigolant légèrement avant de siroter une dernière fois mon Frappucino. Je l'avais terminer comme une vorace tandis que ma sœurette d'amour le savourait lentement pour ressentir encore plus de saveur. Puis je posa le gobelet à coté, non je n'allais pas le laisser ici, je ne veux pas polluer parce que je pollue déjà avec mes habits et puis non je suis pas écolo, mais je respecte ce qui se dois se faire. « Non, Ryder et moi ne formerons jamais un couple ! Nous n’avons rien en commun. Mais je pourrais toujours coucher avec lui lorsque je le payerai pour être mon copain à ton mariage avec Nolhan! » Ouch, c'était quoi cette manière de prévoir un mariage avec ce dealer alors qu'on est même pas ensemble. « C'est dur d'accepter la réalité, qui n'est pas si dure à encaisser finalement. C'est pas parce que vous n'avez pas de point communs que ça ne pourrait pas marcher avec un si beau gosse, tu me fais peur Nova' ! Et puis Nolhan et moi mariés ? Tu veux que je me retrouve avec trois enfants qui ne mènent pas une enfance facile parce que leurs père a encaisser cinq ans de prison ?! » Je me tordais de rire, elle était vraiment marrante cette petite blonde. Elle poussait trop loin, et toute façon je ne me vois pas marier tout court. Je suis jeune et j'ai pleins de choses à découvrir en tant que célibataire. Je me redressa pour la fixer et lui balança : « Non sérieusement, non je me vois pas mariée. »