the complicacy is chief.

A quel âge on perd l'espoir ? A quel âge cessons-nous de croire au père noël ? A quel âge détectons les menssonges des grandes personnes ? A quel âge ne croyons-nous plus en rien ? A quel âge... La jeunesse doit être calme, bercée d'illusions. Ce sont sur ces illusions que l'on se construit. Mais... mais comme pour toute règle il faut l'exception. La demoiselle est cette exception. Dès sa prime jeunesse elle voyait les mensonges des autres, elle connaissait la violence, la haine, la colère. Elle savait que le monde pouvait être cruel et que se bercer d'illusions était perte de temps. A quel âge ? A huit ans à peine. Du haut de ses quelques centimètres elle savait déjà depuis plusieurs années que le monde est moche. Et c'est à ses huit ans qu'elle se promit de ne plus se bercer d'illusions ou du moins de limiter la casse. Et dix ans plus tard ça donne cela :

« Personnelle je n'ai aucun mal à te voir sortir du lit, par contre niveau puanteur, on ne peut pas faire pire. » Assise sur un lit elle laissa tomber sa main sur le lit alors que quelques secondes auparavant elle était sur le dos du jeune homme. Un large sourire aux lèvres. Un compagnon de nuit ? Nop, ils s'étaient juste endormie enssemble bien que cela soit arrivée une fois. Cette relation aussi étrange qu'ambigüe était sans doute l'élement le plus stable de sa vie et ce depuis de nombreuses années, depuis ses plus jeunes années. Un cap ou pas cap qui avait grandi avec eux.

Elle quitta le lit pour rejoindre la salle de bain et c'est sans doute la femme la plus rapide lorsqu'il s'agit de se laver et s'habiller. Dix minutes plus tard elle était coiffée, à peine maquillée et une robe bleu roi recouvrait sa peau à la Blanche Neige. Sortant avec un large sourire au visage elle récupéra son sac. Et c'est avec un simple salut qu'elle quitta la maison. Partie aussi vite qu'un courent d'air. L'une de ses nombreuses facultés. Comme marcher vite tout en lisant un bouquin. Son poin d'arriver : une salle communale devant laquelle, elle s'arrêta nette. Un long soupire et en deux secondes elle avait rangé livre et Mp3.

" Cela fait quatre mois. Quatre mois que je n'air rien touché. Je me sens en manque souvent, très souvent. Je sais comment je pourrais en avoir, je sais où aller. Tout cela me manque. La dernière fois j'ai trouvé une dose dans le font d'un de mes sacs. J'étais contente, heureuse mais j'avais peur aussi. J'étais contente d'en avoir trouvé mais j'avais peur de plonger. De re-plonger. Mais le plus drôle dans tout cela c'est que personne ne sait que je viens ici, personne ne sait que j'aime gober des petites pilules. Je veux m'en sortir mais j'ai peur qu'un jour je retombe et peut-être qu'en parler à un proche pourrait m'aider, mais je n'en suis pas convaincue."

Que les apparances soient belles parce que l'on juge que par elles. Et toutes les apparances sont du côté de Pacey. Une belle frimousse candide qui lui confert la plus grande douceur et naïveté aux yeux des autres. Et cela aide à mentir et à couvrir ses secrets. Elle a vécu dans une belle maison mais elle n'y est pas née. Sa génitrice comme elle la nomme est une personne peu fréquentable, elle ne sait même pas si elle est toujours en vie. Une histoire longue, sinueuse, difficile mais elle s'en est sortie. Elle est devenue une Scott, ce nom l'a toujours fait rire " c'est tellement banal".

ALEXIS bienvenue.

Han, Alexis Garde moi un lien hein (a)
Bienvenue =D

Rage M. Beers a écrit:

Je crois que dwayni est content.
... mais c'est qu'une impression.